Quel que soit le lieu ou l’époque (voir billets précédents sur la Perse et la France), l’écriture n’a pas été l’apanage des hommes comme en témoigne cette estampe japonaise.
Quel que soit le lieu ou l’époque (voir billets précédents sur la Perse et la France), l’écriture n’a pas été l’apanage des hommes comme en témoigne cette estampe japonaise.
Dans « Le Corps des Libraires », Vincent Puente fait découvrir des librairies qui ne vendent qu’un seul livre, ou dont on peut s’enfuir sans payer. Trop beau pour être vrai.
Faire découvrir des auteurs asiatiques inconnus ou méconnus, c’est l’objectif que se sont fixées les Éditions Jentayu. Son fondateur, Jérôme Bouchaud, s’est confié à Terres d’Asie. Un entretien très intéressant que je vous invite à lire !
Christine de Pizan « se retrouve veuve avec trois jeunes enfants, sa mère et une cousine à sa charge, et aux prises avec de grosses difficultés juridiques et financières, son père et son mari n’ayant pas été très prévoyants. Ayant déjà composé quelques poèmes qui avaient été bien reçus dans les cours aristocratiques qu’elle fréquentait, elle décide de se mettre au travail et de faire vivre sa famille grâce à ses livres, et compose un premier recueil poétique, les Cent ballades, en 1399. Sa vie se confond dès lors avec sa carrière d’écrivain, en suivant les fluctuations de la période la plus troublée de la guerre de Cent Ans, dont on trouve de nombreux échos dans ses œuvres. » (source BNF)
Elle est considérée comme la première femme à vivre de son écriture.
La Bretagne ne serait pas complète sans ses korrigans. Ces créatures légendaires parfois bienveillantes parfois malveillantes hantent de nombreux lieux bretons, en particulier les grottes, les tumulus, les dolmens, mais également les fontaines et les landes.
« Les nains noirs, poulpiquets et korrigans, qui, le soir, dès que la corne du berger a rappelé le troupeau aux étables, dansent au clair de lune et forcent le voyageur à entrer dans leur ronde, habitent ce palais farouche. » Anatole France, Lescoff
Il n’est pas commun de voir Ganesh, le dieu de la sagesse, de l’intelligence et de l’éducation, sous cette forme. Selon la tradition, il aurait écrit le Mahâbhârata, sous la dictée de Vyasa (un rishi légendaire), la grande épopée indienne, avec sa défense cassée. On le voit ici lisant la création de son épopée. Les livres sont vraiment d’essence divine !
Après une longue hibernation, le site « renaît » sous une autre forme qui devrait s’améliorer au fil du temps. Les publications devraient être plus régulières, mais aussi la plus intéressante possible ! Des textes, bien entendu, mais aussi des photos et des dessins. En attendant, il n’est pas interdit de voir ou revoir les anciennes publications !