Acrylique sur toile (36 x 28 cm).
Pietro Antonio Rotari (Vérone, 1707 – Saint-Pétersbourg, 1762) est un peintre-graveur italien spécialisé dans la peinture de bustes de femmes qui avaient une notoriété auprès des famille royales de son époque.
Voici un magnifique tableau de cet artiste, intitulé « Jeune fille au livre ». La date de sa réalisation est inconnue.
Ce tableau du peintre néerlandais Vermeer a été peint vers 1665. La jeune femme, que certains supposent être l’épouse du peintre, est sur le point d’écrire avec une plume d’oie. Cette lumière si particulière à Vermeer a le pouvoir de faire ressortir le sujet qui se trouve dans un environnement bourgeois sombre.
L’œuvre est exposée à la National Gallery of Art de Washington, D. C.
Quel que soit le lieu ou l’époque (voir billets précédents sur la Perse et la France), l’écriture n’a pas été l’apanage des hommes comme en témoigne cette estampe japonaise.
Christine de Pizan « se retrouve veuve avec trois jeunes enfants, sa mère et une cousine à sa charge, et aux prises avec de grosses difficultés juridiques et financières, son père et son mari n’ayant pas été très prévoyants. Ayant déjà composé quelques poèmes qui avaient été bien reçus dans les cours aristocratiques qu’elle fréquentait, elle décide de se mettre au travail et de faire vivre sa famille grâce à ses livres, et compose un premier recueil poétique, les Cent ballades, en 1399. Sa vie se confond dès lors avec sa carrière d’écrivain, en suivant les fluctuations de la période la plus troublée de la guerre de Cent Ans, dont on trouve de nombreux échos dans ses œuvres. » (source BNF)
Elle est considérée comme la première femme à vivre de son écriture.
Il n’est pas commun de voir Ganesh, le dieu de la sagesse, de l’intelligence et de l’éducation, sous cette forme. Selon la tradition, il aurait écrit le Mahâbhârata, sous la dictée de Vyasa (un rishi légendaire), la grande épopée indienne, avec sa défense cassée. On le voit ici lisant la création de son épopée. Les livres sont vraiment d’essence divine !